L’imitation visuelle est devenue accessible pour les robots de laboratoire BAIR

Je trouve que les robots connaissent une avancée extraordinaire grâce aux procédés innovants. Désormais, les robots sont capables d’apprendre par simple imitation, à l’instar des êtres vivants.

Des résultats probants selon le laboratoire de Berkeley

L’apprentissage des robots a connu un nouvel essor selon le BAIR ou Laboratoire du Berkeley Artificial Intelligence Research. D’après les chercheurs du BAIR, les robots enrichissent leur expérience en étant capable d’apprendre par imitation.

Ces robots seront beaucoup plus performants pour accéder à des nouvelles compétences. Les perspectives sont beaucoup plus larges par rapport au procédé de machine learning qui requiert un stock gigantesque de datas.

Les robots imitateurs sont beaucoup plus efficaces par rapport au renforcement traditionnel.
Pour plus de détails sur les recherches du BAIR, rendez-vous à cette adresse.

Le mode d’action des robots imitateurs

Les robots imitateurs peuvent prendre la place des robots commandés à distance. Cela concerne les mouvements de base comme la préhension d’un objet pour la pose et la dépose dans un autre lieu.

Le robot imitateur fait appel à des algorithmes d’imitation. On peut citer comme exemple le robot de chantier qui reproduit à l’identique des travaux après une simple consultation de procédure.

Le robot imitateur sera davantage en immersion comparativement au robot pourvu d’IA ou Intelligence Artificielle.

Comprendre l’autonomie chez le robot

Chez un robot, l’autonomie suppose la possession d’une bonne conscience de l’espace environnant. La perception autonome d’un robot est caractérisée par la perception des obstacles, le tri essentiel des informations.

Pour bien saisir le processus, il faut prendre exemple sur la perception de l’être humain. Les zones cérébrales sont aptes à effectuer de la plasticité cérébrale.

Les zones du cerveau relatif au visuel et au toucher au cours d’une scène peuvent se substituer. Le processus cérébral inné émane de la fusion des informations issues des deux zones pour mener à une perception visuo-tactile des objets.

La perception de l’environnement pour les robots

Pour disposer d’une analyse détaillée, le robot doit évaluer tous les chemins potentiels. Il doit faire le tri entre les différentes options.

Chez l’être humain, le cerveau se base sur des cartes cognitives pour le traitement des informations collectées grâce aux capteurs naturels. En faisant une comparaison pertinente entre le mode de fonctionnement cérébral du cerveau et les potentialités d’un robot, les scientifiques peuvent contribuer à l’avancement des robots en termes d’autonomie.

Le seul frein à ces recherches est d’ordre matériel car le projet est coûteux. Retrouvez l’essentiel sur les robots imitateurs en vous renseignant ici.

 

Crédit Photo : vcresearch.berkeley.edu & ireviews.com

BAIRgeekrobot imitateur