A la tête du cabinet Abitbol & Rousselet, l’administrateur judiciaire Frédéric Abitbol à une mission claire : accompagner les entreprises en difficulté financière pour qu’elles ne disparaissent pas. Pour ce faire, cet expert des règlements de contentieux à l’amiable prône rigueur et honnêteté, qualités essentielles pour trouver des solutions qui respectent toutes les parties prenantes d’un dossier.

Frédéric Abitbol est un administrateur judiciaire de référence sur la scène française du restructuring. Ce diplômé d’HEC Paris et de l’Université Panthéon-Sorbonne a d’abord travaillé auprès de Régis Vaillot (SCP Meille et Valliot) avant de co-fonder son propre cabinet parisien avec Joanna Rousselet (Abitbol & Rousselet).

Redoutable négociateur, Frédéric Abitbol a su devenir incontournable pour les règlements de contentieux à l’amiable et lors de procédures collectives en pilotant des dossiers de grands groupes en difficulté. Il a par exemple géré le plan de sauvegarde du groupe Casinos Partouche, Groupe Bernard Tapie, des groupes Rallye et Casino, du groupe Tapie et du FC Girondins de Bordeaux.

Frédéric Abitbol a également accompagné le plan de reprise de William Saurin par Cofigeo, du volailler Doux via un consortium e groupe français, LDC, l’actionnaire Terrena et le saoudien Al Munajem, ou encore celui de la SNCM par Patrick Rocca. Chaque dossier implique des millions, parfois des milliards d’euros d’engagements financiers et les emplois concernés par les dossiers qu’il traite se comptent en dizaine de milliers chaque année.

Le travail de Frédéric Abitbol ne se limite pas aux grands groupes nationaux et transnationaux. La quadragénaire conseille également des ETI/PME, des sociétés cotées ou non, et des entreprises sous LBO.

« Depuis toujours, mon travail c’est d’accompagner les entreprises pour qu’elles ne disparaissent pas : 80 % de mon activité consiste à conduire des procédures de prévention, qu’il s’agisse de mandats ad hoc ou de conciliations, dont l’efficacité est largement démontrée. Au niveau national, 80 % de ces procédures aboutissent à un accord permettant de pérenniser les entreprises qui y ont recours », précise Frédéric Abitbol.

Ce professionnel de la crise est à la fois le maître d’œuvre, le moteur et l’arbitre des négociations entourant le dossier d’une entreprise fragilisée. Son objectif est d’aboutir à une solution qui respecte les intérêts de chaque partie prenante (actionnaires, créanciers, pouvoirs publics…), tout en transcendant ces intérêts divergents vers un intérêt collectif supérieur : celui de l’entreprise.

Pour remplir sa mission, Frédéric Abitbol dispose d’une parfaite analyse des rapports de force qui lui permet de savoir rapidement où il veut aller dans le dossier et de mener, avec habileté et de façon non conflictuelle, des négociations pour y parvenir. L’administrateur judiciaire se veut rassembleur, non clivant, et adopte une approche bienveillante pour instaurer un climat de confiance.

Il prône également un juste équilibre, et cherche le compromis sans faire pour autant de compromission. Selon décideurs Magazine, Frédéric Abitbol à « une conception sociale de sa mission et une méthode immuable : dire les choses et respecter toutes les parties pour, in fine, les convaincre de faire les efforts nécessaires pour bâtir une solution permettant de sauver les entreprises et les emplois qu’elles portent ».

Frédéric Abitbol est régulièrement distingué pour la qualité de ses prestations. Il figure par exemple sans discontinuer, depuis plus de 10 ans, au premier rang du classement des meilleurs administrateurs judiciaires, mandataires ad hoc et conciliateurs en France.

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